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Champs d’énergie

Nous obéissons à des lois universelles.
Il est bon de savoir que les scientifiques n’ignorent pas l’existence des champs d’énergie.

Les scientifiques savent que l’organisme ne se limite pas à une structure physique de molécules mais qu’il comporte aussi des champs d’énergie. Nous passons continuellement du monde statique des solides à celui des champs d’énergie aux formes mouvantes et changeantes.

Si cette information existe, autant l’expérimenter. Les savants apprirent à mesurer ces transformations subtiles. Des appareils ont été fabriqués afin de détecter ces champs d’énergie émis par nos corps et d’en mesurer les fréquences : celle de la décharge électrique du coeur à l’aide de l’électrocardiogramme (ECG), celle du cerveau par l’électroencéphalogramme (EEG). Un détecteur de mensonge mesura l’électricité potentielle de la peau. On sait mesurer les champs magnétiques à l’aide du SQUID, un appareil ultrasensible, super conducteur d’interférence du quantum, sans contact avec le corps. Le Dr Samuel Williamson, de l’université de New York, affirme que le SQUID apporte plus d’informations sur le fonctionnement du cerveau qu’un simple EEG.

La médecine se fia de plus en plus à cet appareillage sophistiqué mesurant les pulsations de la santé et de la maladie du corps. E la vie finit par se définir en termes de pulsions et de schémas d’énergie.

  • En 1939, le Dr H. Burr et le Dr F. Northrop, de l’université de Yale, découvrirent qu’en mesurant le champ d’énergie d’une graine (dit L ou life field), on pouvait prévoir la vitesse de croissance et la vitalité de la future plante. En mesurant celui d’un oeuf de grenouille, ils sont parvenus à localiser l’emplacement du système nerveux et, par le même procédé, à délimiter la période d’ovulation chez la femme. Et une nouvelle méthode de contrôle des naissances est née.
  • Le Dr Léonard Ravitz, de l’université de William and Mary, démontra en 1959, que les fluctuations du champ d’énergie étaient liées à l’état mental, à la stabilité psychologique et à leurs variations, postulant ainsi l’existence d’un champ associé au processus de la pensée, dont les perturbations se manifestent par des symptômes psychosomatiques.
  • Dans l’état de New York, en 1979, un autre chercheur, le Dr Robert Becker, de l’Upstate Medical School de Syracuse, dressa la carte d’un champ électrique extrêmement complexe évoluant autour du corps humain : ces réseaux vibratoires épousent non seulement la forme exacte du corps, mais ils reproduisent également tous les détails du système nerveux central. Il donna à ce champ le nom de « Système de contrôle du courant direct » et découvrit que les fluctuations de sa forme et de son intensité étaient associées à l’état psychologique et physiologique du sujet testé. Puis il prouva que les particules circulant dans ce champ étaient de la taille des électrons.
  • En Russie, le Dr Victor Inyushin, de l’université de Kazakh, se livrait déjà, depuis les années 1950, à des études intensives sur le champ d’énergie humaine. Ses expériences l’amenèrent à supposer l’existence d’un champ d’énergie bioplasmatique composé d’ions, de protons et d’électrons libres et se distinguant des quatre états connus de la nature, à savoir : solide, liquide, gazeux et plasmatique. Selon Inyushin, ce champ d’énergie bioplasmatique pourrait constituer un cinquième était de la matière. Ses observations lui montrèrent que les particules bioplasmatiques sont contamment renouvelées par un processus chimique dans la cellule, et qu’elles sont continuellement mouvantes ; qu’il semble exister un équilibre relativement stable entre les particules négatives et les positives. Si cet équilibre est rompu, l’organisme s’en trouve affecté. Inyushin découvrit qu’en dépit d’une stabilité normale du bioplasma, une quantité considérable d’énergie s’irradie dans l’espace et que les nuages de particules bioplasmatiques émanant de l’organisme, en mouvement dans l’air, étaient mesurables.

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